Raisonnances…

Un petit hommage à une jeune femme absolument ravissante que j’ai croisé pour la première fois le dernier lundi de juillet au matin. Et avec qui j’ai pris le métro B chaque matin (celui de 07:40 environ à Charpennes) et quelques soirs également pendant deux semaines.

La première fois que je vous ai vu, vous vous êtes assise en face de moi. Et le soir nous nous sommes croisés de nouveau en descendant de la rame au retour. Vous m’avez sourit - m’ayant sûrement reconnu grâce à ma trotinette -. Mais le temps que

je réagisse que c’était vous, et vous rende votre sourire, vous étiez déjà descendu à quai.

Trop tard.

Le lendemain j’ai eu le sentiment que vous aviez l’impression que je vous avais “mis un vent” comme on dit. Mais ce n’étais pas le cas du tout.

Mauvais timing.

Bref.

Tous les matins je guettais votre venue, donc.

Et me réjouissais de vous retrouver. Jusqu’ au dernier jour, le premier vendredi du mois d’août où je suis arrivé en retard. J’ai eu peur de vous avoir ratée. Le métro allait partir. Je suis monté par la première porte cette fois et ai gagné ma place “habituelle” (il fait plus frais à cet endroit de la rame !) quand en m’asseyant je me suis aperçu que vous étiez assise en face de moi. Comme au premier jour…

Comment vous reconnaître ? Vous êtes une jeune et jolie femme.

Peut-être 25 ans ?

Peut-être moins.

Je dirai 1m72-75 environ…

De longs cheveux chatains magnifiques et soignés.

Un minois angélique.

Des très jolis yeux dont je n’ai pu hélas constater la couleur (problème de vue).

Un petit nez.

Des lèvres fines sur une bouche sensuellement dessinée.

De longues jambes d’après ce que j’en ai deviné.

Un corps assez harmonieux en fait.

Fine sans être maigre ni trop mince.

De jolies hanches.

Vous écoutiez de la musique tout comme moi.

Vous vous impregniez du rythme d’un petit mouvement de la tête avec un léger balancement du buste ce qui vous rendait très sensuelle.

Et ce dernier jour j’ai soutenu votre regard…

Vous descendiez à Jean Macé…

Moi : je tapotais mes rythmiques sur ma besace marron croûte-de-cuir huilée, comme à mon accoutumée, batteur de mon état…

Pas très grand. Chatain clair.

Des yeux bleu-gris-jaune. Avec des lunettes assez fines pour les montures.

Souvent en debardeur ou avec une chemise sans manche Rivaldi noire.

Baskets “jaunes” Timberland.

En général en jean bleu classique ou noir.

Voilà, jeune et belle inconnue.

J’aurai plaisir à vous revoir encore. Et peut-être oserai-je vous souhaiter une bonne journée…

Ou peut-être oserez-vous m’aborder si vous lisez jamais ceci…

En tout cas, un grand merci pour m’avoir redonner goût au métro ^^