Des regards, un sourire détonnant, une envie irrésistible de défier la logique.

Jeune homme…

Nous avons échangé des regards détonants. Vous, arrivez au Vieux Lyon, moi qui tenais fébrilement mon carnet jusqu’à guillotière, évitant de semer le trouble dans vos pensées. Un sourire maladroit de votre part, et j’entrai déjà dans les géhennes de la station, éperdument triste de ne pas vous avoir dit : “Vous êtes charmant…”