L’inconnue
Belle inconnue du matin.
Tu montes à Jean Mace sous mon regard toujours ébahis, je descend à Guichard et nos regards n’ont fait que se croiser.
Tu n’es peut être pas célibataire, tu ne viendras sans doute jamais lire mon commentaire ici, mais ce court instant est le meilleur moment de mes journées que j’attends avec impatience.
Vivement le prochain, mardi à 8h32.