Une rencontre qui m’a illuminé la journée ..

C’était un jour assez nuageux, qui me laissait prendre un air indécise, réfléchie et fatigué. Je marchais sans savoir où j’allais, j’étais dans la routine désespérée sans même le dire à moi meme. Une routine qui me laissait plus croire en rien. Découragée de toute folie dans ma vie, un jour assez précis, un jour qui m’a poussé à prendre les choses en main pour mon orientation, le samedi 30 janvier 2016, vers les coups de 16h30, une petite pépite apparut dans un tram que je prends quotidiennement : le T4 direction la gare de La Part Dieu. J’avais mal au pieds car aujourd’hui j’avais mis des talons noires et pour assortir une robe rouge et un manteau long noir.J’entrai dans celui ci, je n’eu même pas le temps de cligner des yeux que mon cœur accrocha. Oui. Oui, je l’ai dit. Oui j’ai craqué. J’avais besoin de m’exprimer à ce moment là, c’était instinctif. Mon œil le contempla, j’étais en pleine crise. Il était la, tout seul, discret, insouciant de sa beauté. Il avait un regard assez fixe sur son entourage, il était aussi dans sa routine, je dirais qu’elle était assez active. En même temps, ma crise l’interpela, il m’a vu, je l’ai vu, on s’est vu. Il était typé maghrébin, une classe iné chez lui, un regard perçant noirs, une chevelure parfaite qui nécessitait un simple coup de main. Une bouche, une vraie.Il était assez grand, la taille qui me fallait, très classe, vêtu d’un manteau gris ceintré, des jambes assez fines couvert d’un pantalon noir, une valise à la main. Une envie de le suivre m’atteri en pleine tête. Je ne pensais plus à rien, juste que ce trajet en tram dur dur dur et dur jusqu’à que l’étincelle qui aurait pu surement changer ma vie arrive. Le trajet continua de cette manière. Des regards furtifs, des envies folles, des trous de mémoires, des rires, des conversations avec mon amie sans logique, des mordages de lèvres, des yeux bouffés.

Arrêt Gare Part Dieu, je descendus ici meme, mes jambes voulaient faire marche arrière, j’étais très déterminée à l’avoir mais il était d’un autre monde, ailleurs. Mon amie regarda pour moi s’il était derriere nous, elle était aussi bloqué à l’idée de voir que c’était vraiment un moment décisif. Elle tourna la tête et le remarqua, nos pas ralentissaient, on inventa des arrêts devant les écrans d’horaires. Lui a pas déterminés, alla dans un guichet pour carte bancaire pour prendre son billet. Oui oui il n’était pas d’ici. Ce qui me rendue encore plus stressée. Mais la raison m’emporta. Une femme n’ira jamais faire le premier pas, que sa soit une question de vie ou de mort ou bien même si ma meilleure amie m’envoyait. Non je suis une femme. Mais j’avais quand même mes petits jeux pour pouvoir le recroiser. Mais il était la à chercher l’horaire, de quai de son train. Il voulait rentrer sans même vouloir connaître les alentours. Il était beau, je le realisai à chaque seconde. Sans même le connaître il remplissait tout ce qui aurait pu manquer chez moi. J’en rajoute pas plus, ma vie ne sera plus la même, il m’a fait ouvrir les yeux, il m’a donné de l’espoir, mais il m’a atteint.

Tu dois rentrer chez toi la, le petit col monte pour ne pas recevoir des coups d’air. Bonne vie à toi. Je te retrouverai.

Mon destin.